Clap de fin pour Valeria, la série espagnole qui a conquis des millions de spectateurs sur Netflix. La quatrième et dernière saison, disponible depuis la Saint-Valentin – un clin d’œil au romantisme qui émaille la série depuis ses débuts – marque la conclusion des aventures sentimentales et professionnelles de quatre amies inséparables, Valeria, Lola, Carmen et Nerea. En seulement six épisodes, cette ultime saison promet son lot de rires, de larmes et de décisions capitales.


La trentaine et ses montagnes russes émotionnelles

Depuis 2020, Valeria s’est imposée comme une référence en matière de séries contemporaines, captivant un public en quête d’histoires sensibles et sans filtres. La série brille ainsi par son ton libre, son humour piquant et son regard décomplexé sur l’amour, la sexualité et les relations humaines.

Diana Gómez (Valeria), Silma López (Lola), Paula Malia (Carmen) et Teresa Riott (Nerea) incarnent avec brio ces quatre femmes attachantes et modernes. Un casting brillant qui a parfaitement incarné des personnages aussi drôles qu’imparfaits, terriblement authentiques. Des personnages auxquels les spectateurs se sont fortement attachés car ils partagent avec eux les mêmes préoccupations. 

image de la saison 4 de Valeria sur Netflix
Capture d’écran de la saison 4 de Valeria (2025)

Un « Sex and the City » à la sauce madrilène 

À n’en pas douter, le pitch de la série n’est pas sans rappeler celui de l’iconique série américaine. Mais cette fois-ci, ce n’est pas New York, mais Madrid qui sert de terrain de jeu aux aventures d’une bande d’amies. Il y a Valeria, l’écrivaine en crise permanente qui passe du syndrome de la page blanche à un immense succès littéraire et qui fait au mieux pour vivre pleinement sa vie sans sombrer dans la folie de sa relation toxique avec Víctor. Il y a Lola, la femme sans complexes, nymphomane sans attaches, mais au cœur débordant d’émotions. Puis Carmen, la plus timide et réservée de la bande, secrètement amoureuse d’un collègue de bureau avec qui elle finira par se marier et fonder une famille. Et enfin, il y a Nerea, l’avocate lesbienne qui sort non sans difficultés du placard et de sa zone de confort familiale et professionnelle.

Valeria troque les gratte-ciels de Manhattan pour les ruelles vibrantes de Madrid. Ainsi, la capitale espagnole, sublimée par une réalisation « instagrammable » à souhait, s’affirme comme un personnage à part entière de la série.

Une ultime saison sous le signe de la maternité 

Dans cette dernière ligne droite, les enjeux sont plus forts que jamais ! Valeria doit faire des choix cruciaux pour son avenir, tant à un niveau professionnel que sentimental. Carmen, confrontée aux bouleversements de la maternité, découvre une nouvelle facette de sa vie. Quant à Nerea, elle continue de tracer sa route, cherchant l’équilibre entre ambition et identité. Enfin, Lola, toujours aussi libre et passionnée, fait face à de nouveaux défis qui la pousseront à réévaluer ses choix.

image de la saison 4 de Valeria sur Netflix
Capture d’écran de la saison 4 de Valeria (2025)

Adaptée des romans à succès de l’écrivaine espagnole Elisabet Benavent, la série a connu un fort retentissement dès sa sortie en 2020. À chaque nouvelle saison, Valeria s’est imposée comme l’une des productions espagnoles les plus streamées sur Netflix, sans doute en raison de son ton sincère et de son regard moderne sur la féminité.

Bande annonce de la saison 4 de Valeria (2025)